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| Candidature Pizou [refusée] | |
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+4travis barker Spectre... Sturf Pizou 8 participants | Auteur | Message |
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Pizou Oeuf Dragon
Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 15/03/2006
| Sujet: Candidature Pizou [refusée] Mer 15 Mar à 18:40 | |
| Bonjour à vous nobles seigneurs , je me nomme Pizou dans le forum comme dans le jeu et je possède actuellement 46 000 points. J'ai en effet fréquenté des alliances telle la T and S , où j'ai fait mes débuts dans ce jeu. Mais malgré mes efforts pour prouver au fondateur qu'un traitre était parmis nous , personne n'a rien voulu entendre et je me suis éxilé a l'aide de quelques amis. J'ai refait surface dans une alliance quelques semaines après , dans la N.D.K . Là , tout ce passait bien , jusqu'à ce que se réalise une fusion qui s'est mal déroulé et où nombreuses étaient les personnes qui s'en allaient.
A cause de cela , mes compairs et moi avons quittés cette alliance pour former la WSH. Une fois de plus , nous avons tenté de réaliser une fusion. Et encore une fois , cela s'est mal passé et nous avons dûs nous séparer.
Je vois d'ailleurs que mon meilleur ami ( Maitre Kenobi) a lui aussi pris l'initiative de poser sa candidature. Il a raison , il est très fiable , vaillant , et l'on peut compter sur lui/
Mes principales motivations ( il y en a tellement que je ne citerai que l'essentiel) sont que je désire rattraper le temps perdu , à donner le meilleur de moi - même dans cette excellente alliance , et même pourquoi pas cotoyer les meilleurs pour que l'alliance soit satisfaite de ce que j'aurai pu faire ,tant sur le plan des points que sur le plan amical.
Je pense avoir tout dit et j'espère grandement être accepté dans cette grande alliance.
Ne vous inquiétez pas , je n'oublie pas le RP , dois - je le rédiger sur le forum ou par courrier? | |
| | | Sturf Merveilleux Administrateur
Nombre de messages : 758 Age : 36 Planète : Gaïa Date d'inscription : 28/12/2005
| Sujet: Re: Candidature Pizou [refusée] Mer 15 Mar à 18:52 | |
| - Citation :
- dois - je le rédiger sur le forum ou par courrier?
[HRP]Tout d'abord bienvenue à vous Seigneur Pizou. Pour répondre à votre question, je pense qu'un post sur le forum suffira ^^. Bonne chance à vous.[/HRP] | |
| | | Spectre... Oeuf Dragon
Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 09/03/2006
| Sujet: Re: Candidature Pizou [refusée] Mer 15 Mar à 18:55 | |
| Spectre, qui passait dans le coin, glissa le long du mur, et murmura ces quelques mots au visiteur... -je ne suis pas un dragon, mais a force de parcourir leur forum, je dirais bien qu'il faut que tu poste ton RP ici. bonne chance... Et il repartit aussitot, sans laisser le visiteur l'apercevoir.. | |
| | | Pizou Oeuf Dragon
Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 15/03/2006
| Sujet: Re: Candidature Pizou [refusée] Mer 15 Mar à 18:56 | |
| Merci , si vous le voulez bien je ne peux pas le faire dans l'immédiat , mais je le ferai le plus vite possible | |
| | | travis barker Merveilleux Haut Conseiller Dragon
Nombre de messages : 2621 Age : 38 Planète : o'ocarelans Date d'inscription : 27/12/2004
| Sujet: Re: Candidature Pizou [refusée] Mer 15 Mar à 19:43 | |
| - Spectre... a écrit:
- Spectre, qui passait dans le coin, glissa le long du mur, et murmura ces quelques mots au visiteur...
-je ne suis pas un dragon, mais a force de parcourir leur forum, je dirais bien qu'il faut que tu poste ton RP ici. bonne chance... Et il repartit aussitot, sans laisser le visiteur l'apercevoir.. [hrp]merci[hrp] | |
| | | Spectre... Oeuf Dragon
Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 09/03/2006
| Sujet: Re: Candidature Pizou [refusée] Mer 15 Mar à 19:56 | |
| [hrp] de rien [hrp] | |
| | | Pizou Oeuf Dragon
Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 15/03/2006
| Sujet: Re: Candidature Pizou [refusée] Jeu 16 Mar à 20:11 | |
| RP : c un sujet un peu bizarre , mais c un sujet!
Il y avait au sommet de la colline nommée Jack, située sur Alkal, île chargée d’un passé lourd et douloureux, un vieil homme sans âge. Je l’ai rencontré lorsque j’avais huit ans.
Six ans plus tard.
Je lui rends toujours régulièrement visite lorsque mes parents m’en donnent la permission. Ils prétendent connaître cet homme depuis fort longtemps, mais n’apprécient pas nos entrevues, trop fréquentes à leur goût. Les villageois se moquent de lui et racontent toutes sortes de balivernes. La rumeur laisse circuler que le vieil homme aurait la faculté de dompter les espèces sauvages de la région, comme les loups et les renards. Certains racontent même que « l’homme de la colline » était là bien avant les premières maisons bâties sur l’île, il y a de cela 150 ans... Il ne descend presque jamais au village afin d’éviter les railleries qui irritent ses oreilles fatiguées. Cet homme vit en autarcie complète, grâce à son élevage de volailles, les légumes géants qu’il cultive dans son jardin, et le poisson qu’il pêche lorsque les marins dorment encore, enivrés par des soirées sans fin, dans les bouges sordides des îles voisines. Pourtant, j’aime aller lui rendre visite lorsque mes parents sont couchés. Il m’apporte l’affection d’un grand-père que je n’ai jamais eu. Cet homme est profondément gentil et attentif à mon égard. Il a le visage bruni par le soleil et sa peau est tannée comme la veste en daim qu’il porte à chaque fois que nous nous rencontrons. Ses cheveux effilochés, blancs comme la neige, parcourent son dos pour s’arrêter au bas des reins. Ses longs doigts fins qui me font penser à des baguettes noueuses de peuplier, sont maltraités par les intempéries. Son pantalon bien trop large laisse deviner une maigreur incroyable. Il vit dans une petite cabane de bois qu’il a entièrement construite. Son intérieur est très humble mais tellement chaleureux. La décoration se limite à quelques filets de pêche troués, et à un tableau représentant une femme entourée de bébés loups. Dans un bocal ébréché, des pinceaux aux poils rabougris reposent patiemment, dans l’attente d’une incertaine utilisation. Je m’y sens bien, dans la demeure du vieil homme. Personne, depuis des printemps évaporés dans les calendriers, ne lui a rendu visite. Ses yeux sans teint ont oublié le relief des beautés qui l’entourent, depuis son accident de cheval. Cependant, je ne l’ai jamais vu triste. Aucune larme ne semble avoir rafraîchi la sécheresse de ces joues maigres. Pour mon quinzième anniversaire, « l’homme des sommets » m’a offert une canne à pêche fabriquée par ses mains engourdies. Tout le manche en est sculpté de petits poissons ailés, elle est vraiment magnifique. Il m’a confié avoir cherché des bois rares et précieux dont la provenance est jalousement tenue secrète. Il m’a fait boire un élixir aux saveurs insolites, à base de lait chaud de sa brebis et du miel de la ruche. Il y a même ajouté - m’a-t-il expliqué - des épices aux pouvoirs magiques. Dans l'après-midi, nous sommes allés à la rencontre des poissons au bord d’une rivière cachée dans la clairière. Je n’en avais jamais attrapé d’aussi gros. Alors, avec son air malicieux, il me raconta que la canne avait elle aussi un certain pouvoir. Et je riais des histoires extraordinaires qu’il me contait. Lorsque je suis rentré chez moi, à une heure jugée tardive, mes parents étaient furieux. Sans explication, mon père cassa sur ses genoux le cadeau offert par le vieil homme aux yeux blancs. J’étais désemparé. Je me mis à pleurer, et mes sanglots durèrent une bonne partie de la nuit dans ma chambre. Je suis quand même retourné voir mon ami le lendemain, pour lui raconter ce qu’avait fait mon père. Attendri, il me donna son arc pour me faire oublier ma peine. Nous partîmes chasser les oiseaux non loin de chez lui, dans la « forêt aux murmures ». Amusé par mon inexpérience et percevant mes maladresses, il me proposa de retourner chez lui boire une tasse de thé. Nous étions assis devant sa cabane et dégustions son breuvage face au bleu turquoise de la mer. Je profitai de ces instants empreints de douceur pour me hasarder à lui poser quelques questions qui m’intriguaient depuis un certain temps. « Est-ce vrai ce que l’on raconte au sujet des loups que vous apprivoisez ? » Il me répondit sur un ton réconfortant : « Non, mon garçon, je ne les apprivoise pas. C’est eux qui m’ont adopté dans leur grande famille qui se trouve de l’autre côté de la colline, à cinq jours de marche. Mais tu sais, les biches et les écureuils aussi nous ont ouvert la porte de leur coeur, à moi ainsi qu’à la solitude qui me tient compagnie chaque jour. Je leur parle de mes journées fragiles qui se ressemblent, et ils me comprennent, répondant par de petits cris tendres et affectueux. Même le ciel me prévient à l’avance de ne pas me hasarder hors de chez moi, en se manifestant par de sourds grondements. « De quoi vous souvenez-vous avant... - L’accident ?… dit-il en finissant ma phrase avant moi. Je chevauchais un bel étalon gris. Nous étions dans la forêt aux murmures avec ma compagne, lorsque le cheval s’est emballé tout à coup. En tombant, ma tête a heurté violemment une pierre, et depuis je suis devenu ce que tu peux voir. Un vieil homme aux quatre sens endoloris. Désormais, mes rêves sont hantés de souvenirs angoissants, et d’autres choses aux contours imprécis. Cependant, j’ai en mémoire les vastes étendues de verdure qui entouraient ma demeure. Mais hélas, ces immenses prairies où vivaient en parfaite harmonie une multitude d’espèces animales ne sont plus, depuis l’arrivée des « hommes du bas ». Ce sont ces mêmes gens qui interdirent à leurs enfants de me rendre visite les jours de fêtes, en leur racontant toutes sortes de légendes amères pour les effrayer. Je ne me baigne plus dans la rivière, de crainte d’être emporté par le courant et de ne pas retrouver mes repères. J’ai une image assez floue des couleurs extraordinaires de certains papillons rares, isolée dans un recoin caché de mon esprit. Heureusement qu’il me reste les odeurs pour ne pas oublier... Par contre, j’ai l’impérissable souvenir d’une jeune femme très belle que j’ai tant aimée. Avec elle, j’ai connu un immense bonheur pendant des années dans ce lieu. Puis un jour elle est partie, afin de fuir la cruauté et les récits imaginaires que prennent un malin plaisir à raconter « ceux d’en bas » à mon sujet. » De légers sanglots trahirent l’émotion qui m’envahissait à l’écoute de son histoire. Le vieil homme était aussi touché, mais aucune larme ne sortit de ses yeux transparents. Le coucher de soleil à l’horizon m’indiqua qu’il était temps pour moi de descendre retrouver ma famille pour le dîner. Je pris soin de cacher l’arc que mon ami m’avait offert.
Sur la table de la salle à manger, mes parents m’avaient laissé un mot dans lequel ils me demandaient de les rejoindre au bar du village. Arrivé devant « l’Alcôve », je pus entendre, derrière la porte, l’excitation malsaine des habitants. Je pénétrai timidement dans un univers hostile et enfumé. Des bouteilles vides, aux effluves d’alcools, jonchaient les tables sales. Une poussière lourde recouvrait le sol. Les rideaux jaunis aux fenêtres interdisaient à la lumière de pénétrer. « Y’en a marre ! Faut en terminer ! C’est la huitième depuis le début de l’année ! » « Ouais ! T’as raison, ça peut plus continuer ! » « Assez parlé ! Allons-y ! » Je demandai à mes parents la raison de cette révolte. « Des vaches et des brebis ont été retrouvées égorgées par des loups, dans l’enclos de la ferme de Jo », me répondit mon père d’une voix agacée. « C’est la faute de ce fou et de ses bêtes, je l’ai vu s’en aller de l’autre côté de la colline, il y a une semaine ! » éructait mademoiselle Léane, fidèle dévouée à notre sainte paroisse de Kéa. « C’est lui qui les a envoyés pour nous punir ! Il faut qu’il parte ! » « Ouais ! elle a raison, faut en finir ! » répondirent-ils tous ensemble. Réalisant le danger pour le vieil homme, je partis immédiatement en haut de la colline pour le prévenir de ce qui se préparait contre lui au village. Essoufflé par une folle course, je me trouvai devant la porte de son cabanon sur laquelle je cognai de toutes mes forces. « C’est moi ! Ouvrez vite ! » criais-je, « La colère gronde en bas, ils veulent vous chasser, comme ils ont chassé jadis votre bien aimée !» Seuls mes cris aigus retentirent dans la forêt sombre qui entourait sa cabane. Soudain, un léger doute m’envahit lorsque je repensai aux accusations de mademoiselle Léane...
J’entendais au loin des bruits de pas sourds, accompagnés d’aboiements féroces. Les ombres vives se faisaient de plus en plus précises. Les hommes forts du village arrivaient. Dans la plus grande des fureurs, ils défoncèrent sa porte à l’aide de leurs larges épaules. Nous constations dans un silence pesant, que le vieil homme avait disparu, emportant avec lui ses modestes affaires. Très peiné, je retournai chez moi, avec pour seul réconfort le souvenir des instants merveilleux et secrets passés en sa compagnie. Des souvenirs agréables, d’une rare intensité, remontaient à la surface, m’inondant d’un bonheur apaisant. Je ne revis le vieil homme que quinze jours plus tard, au hasard d’une balade en forêt. J’étais si heureux et tellement surpris de le retrouver, que je lui sautai maladroitement au cou, et l’étouffai de tendresse. « Où étiez-vous parti ? balbutiai-je. Savez-vous que les habitants veulent vous chasser d’ici ? - Du calme mon garçon, je vais bien, rassure-toi. Je suis juste fatigué de mon voyage. » Il me caressa affectueusement le visage, puis me serra très fort dans ses bras pendant un long moment. « J’ai entrepris une longue route pendant dix jours... » Je marquai un court instant de réflexion et me défis brusquement de son étreinte. Il continuait de me parler, mais je ne l’entendais plus. Sa phrase vrillait lentement et pernicieusement à travers les lignes courbes de mon esprit, ainsi que les affirmations des villageois, qui résonnaient de plus en plus. Dans une colère incontrôlée, je lui rétorquai : « Dix jours ! Mais ... c’est le temps qu’il vous a fallu pour aller et revenir de l’autre côté de la colline, là où précisément vivent les loups... Alors, c’est donc vrai ce que l’on raconte en bas, c’est bien vous qui avez ordonné à ces animaux d’attaquer le bétail de la ferme de Jo ! - Mais non mon garçon, comment peux-tu croire pareille sottise, je me suis absenté pour te ramener quelque... » Son visage grimaçant et sa voix posée comme celle d’un acteur de théâtre jouant à la perfection un rôle machiavélique, me rebutaient. « N’en dites pas plus ! Vous m’avez menti ! Menti depuis toujours ! Vous avez abusé de ma naïveté, joué avec mes sentiments ! Vous m’avez trompé ! C’est eux qui ont raison… Je ne peux plus avoir confiance en vous ! Adieu ! » « Attends... Reviens... Ne pars pas !... » Précipitamment, je me mis à courir en direction du village. J’entendais de plus en plus faiblement le bruit sec de sa canne frapper la terre, comme s’il voulait essayait de me poursuivre de son pas incertain. J’avertis mes parents du retour de « l’homme aux loups ». Ma mère s’empressa de prévenir le voisinage de la nouvelle. En moins d’une heure, tous les habitants emplis de haine étaient rassemblés au pied de la colline, décidés à bannir « l’homme des cimes » de son territoire. Lorsque nous arrivâmes au sommet de la colline, « les hommes d’en bas » lui ordonnèrent de partir sur-le-champ. Sans contestation, le vieil homme rangea d’une main tremblante ses habits et quelques babioles poussiéreuses. Puis me tournant le dos, il partit dans la direction opposée au mont Hélvère, là où personne ne s’est jamais aventuré de crainte d’être attaqué par les prédateurs, ses amis. J’étais resté éloigné de lui. Pourtant il marqua une pause, et son visage se tourna dans ma direction. J’avais l’impression qu’il me fixait. Pendant ces longues secondes, il me sembla voir une larme couler de ses yeux opaques, glissant entre les sillons de ses joues ridées.
Une semaine s’est écoulée depuis son départ. Nostalgique de l’ambiance qui régnait chez « l’homme de la forêt », j’ai voulu retourner une dernière fois dans sa demeure, encore tiède des événements bouleversants dont elle fut le théâtre. La porte ayant été défoncée, je n’eus aucun mal à m’y introduire. L’unique pièce était déserte. Il n’y avait plus d’effets, plus rien, à l’exception d’un colis sur sa table, accompagné d’une lettre, probablement oubliés dans la hâte de son départ. Curieux, je pris la liberté d’ouvrir l’enveloppe et d’en lire le contenu : « Je suis désolé mon petit, que ton père ait cassé la canne à pêche le jour de tes 15 ans. Si tu ne m’as pas vu ces derniers temps, c’est que je suis allé loin dans la forêt, chercher ces bois rares dont elle était faite. Le mal est réparé, je t’en ai fabriqué une autre. J’espère qu’elle te plaira. Joyeux anniversaire mon garçon. » La terre bascula sous mes pieds. En un instant je venais de comprendre ma terrible erreur. Je crois n’avoir jamais autant pleuré de ma vie d’adolescent.
Seize longues années ont passé depuis que j’ai été séparé de « l’homme de la colline. » Il m’arrive de temps à autre d’être pris de remords lorsque je repense à celui qui a été mon unique ami. Cependant ces pensées se dissipent rapidement lorsque je vois le sourire de mon fils qui a cinq ans aujourd’hui. Je vais souvent à la pêche avec lui. Heureusement qu’il est trop jeune pour analyser les sentiments des grands, car il ne comprendrait pas pourquoi son père verse des larmes, chaque fois qu’il attrape un gros poisson.
J'éspère que mon RP vous a plu , car j'y ai mis tout mon coeur , et je souhaite vous avoir donner satisfaction! | |
| | | dragon d'eau Dragonet
Nombre de messages : 26 Date d'inscription : 14/03/2006
| | | | Sturf Merveilleux Administrateur
Nombre de messages : 758 Age : 36 Planète : Gaïa Date d'inscription : 28/12/2005
| Sujet: Re: Candidature Pizou [refusée] Jeu 16 Mar à 20:40 | |
| [HRP]Incontestablement une histoire magnifique, avec une imagination et une expression remarquables. C'est presque difficile de croire que ca sort pas d'un bouquin (pardonne moi si je t'offense par ces paroles mais c'est vraiment tellement rare que la question m'est venue à l'esprit...). Quoi qu'il en soit, je ne vois cependant aucun lien avec nous, les Dragons, ni la raison de ta volonté d'intégrer nos rangs...
Ceci dit, vu ce que tu as écrit là, tu ne devrais avoir aucun mal à poursuivre pour amener un lien avec nous...[/HRP] | |
| | | Archangélune Alandrael L'Archange Célestiel
Nombre de messages : 959 Planète : Oscurandes Date d'inscription : 30/09/2005
| Sujet: Re: Candidature Pizou [refusée] Jeu 16 Mar à 21:00 | |
| [HRP] J'avoue que c'est en effet épatant et que cela fait plaisir à voir suite aux nombreuses candidatures sans suite jusqu'à présent...
Afin de conseiller un peu les actuels postulants, j'aimerais que tu leur dises à peu près combien de temps as-tu mis à rédiger ce RP si bien construit, qu'il se fasse une idée de ce qu'est une bonne candidature et du temps que cela doit prendre...
Autre question : as-tu rédigé ce RP spécialement pour poser ta candidature chez nous ? Si oui, cela jouera inévitablement en ta faveur, vu cette qualité d'expression, comme le souligne à juste titre Sturf... Ce serait là la preuve d'un franc désir de faire partie de cette alliance... [/HRP] | |
| | | jeff06 Dragon Divin de Diamant
Nombre de messages : 680 Age : 43 Date d'inscription : 04/09/2005
| | | | Pizou Oeuf Dragon
Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 15/03/2006
| Sujet: Re: Candidature Pizou [refusée] Jeu 16 Mar à 22:05 | |
| C'est vrai , ça n'a pas de liens fort avec les Dragons , mais je peux vous assurer que ce RP a été réalisé exclusivement en votre faveur.
Je n'ai que 14 ans certes , mais je vous assure que cela sort directement de mon imagination , et j'ai dû faire 1 ou 2 brouillons avant de trouver la presque perfection.
Elle m'a pris environ 6 heures de préparation | |
| | | dragon d'eau Dragonet
Nombre de messages : 26 Date d'inscription : 14/03/2006
| Sujet: Re: Candidature Pizou [refusée] Jeu 16 Mar à 22:08 | |
| moi j'aime bien il est fort je trouve | |
| | | .:¦Shoryu¦:. Dragon Diabolique
Nombre de messages : 878 Planète : Septuna Date d'inscription : 07/01/2006
| | | | dragon d'eau Dragonet
Nombre de messages : 26 Date d'inscription : 14/03/2006
| Sujet: Re: Candidature Pizou [refusée] Jeu 16 Mar à 22:10 | |
| merci moi aussi je t'aime | |
| | | Archangélune Alandrael L'Archange Célestiel
Nombre de messages : 959 Planète : Oscurandes Date d'inscription : 30/09/2005
| Sujet: Re: Candidature Pizou [refusée] Jeu 16 Mar à 22:35 | |
| - Pizou a écrit:
- je peux vous assurer que ce RP a été réalisé exclusivement en votre faveur.
http://www.meshistoires.com/display.php?pge=story&num=2&sld=1 Ceci prouve le contraire, et met fortement en doute ta sincérité, pour ne pas dire que ta parole n'a à mes yeux plus grande valeur...
Le doute était bien présent, je connais moi-même quelques jeunes auteurs faisant part de leurs nouvelles ici ou là sur différents sites afin de tenter de se faire un nom...
Il est très difficile d'aboutir dans le métier de scénariste, romancier, etc, je sais parfaitement ce qu'il en est...
Je sais également que se faire voler ses idées par quelqu'un qui passait par là et fait un copier coller de notre propre histoire est pour un auteur, surtout débutant, la pire chose qui puisse être...
Quelque chose que l'on a sorti de ses tripes, que l'on a mis énormément de temps à rédiger, bref, qui est partie intégrante de nous-mêmes et que l'on cherche à partager avec d'autres, surtout quand comme ici, il s'agit d'un récit fort et ayant la particularité d'émouvoir les lecteurs les plus sensibles...
Je souhaiterais, avant de donner fin à cette évidente mascarade, te sensibiliser à cela, te faire réfléchir à ce que tu viens de faire en recopiant ce texte vis-à-vis de son auteur...
Plus qu'un manque de respect par rapport à lui, c'est pour moi un coup de poignard en plein coeur...
Puisses-tu ne jamais réitérer cet acte, que dans ma tristesse au vu de celui-ci j'ai peine à qualifier...
PS : Si tu as quelque chose à ajouter, merci de le faire en m'envoyant directement un mp sur ce forum, et non en ouvrant un autre sujet ici... | |
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